- mar. 28 mai 2019 10:14
#35559
Ce post contient des scènes explicites avec des abdominaux gonflés et des pectoraux d'Apollon.
Les aveux la firent rougirent l’avait fait rougir, ajoutant alors des teintes de pourpres à ses joues déjà colorées. Elle n’en fit aucun commentaire et se laissa faire, consciente qu’elle était littéralement entre de bonnes mains. Appréciant tout autant ses caresses sur sa peau sensible. Il avait de cette manière de faire glisser les mains avec une douceur si prononcé qu’elle se serait cru être un tissu de lin. Un fin croisement de fils entrelacés que l’on caressait du bout des phalanges. Elle se sentait à la fois fragile, et à la fois traitée avec respect et déférence. Deux principes qu’elles ne cultivaient pas particulièrement mais qui une fois soumise lui prodiguait des sensations diverses. Entre folie passionnelle et envie sauvage. L’eau vaporisée n’allait pas contre ses sens non plus. La chaleur les entourait, et son corps contre le sien était comme un réconfort certain. Il l’embrassa et leurs langues se mêlèrent l’une à l’autre, dans une bataille d’escrime ou personne ne voulait gagner. Ou personne ne voulait éperonner l’autre. Juste des passes, longues et intenses, allant d’une bouche à l’autre. Tout cela était enivrant. Bien trop peut-être pour leur bien, tandis que les corps se mêlaient, baigné par l’eau cristalline.
Alors la reine s’était essayée à contenter son compagnon, et fut en retour caresser sur sa poitrine, à des endroits beaucoup trop sensibles. Leurs bouches se séparèrent, de l’initiative royal, afin de se perdre dans le creux de son trapèze afin d’y reprendre son souffle. Et surtout d’y souffler la pression qu’il accumulait dans son corps. Donner était une chose, mais recevoir contribuait à lui faire chavirer les sens. Ses caresses étaient douces et lui faisaient frissonner les poils jusque dans le bas du dos. Sa respiration était alors plus forte et son ventre se chargeait et déchargeait à grande intensité. Elle le désirait. L’attirance à laquelle elle était soumise la faisait se coller à lui, toujours plus proche, tout en sachant que cela empêcherait la distribution respective des plaisirs. Ceux-là même qui créaient alors ce rapprochement. Un paradoxe de sensualité auquel elle devait faire face. Aussi ne restait-il que ses baisers dans son cou, entre deux respirations prolongées, et des spasmes incontrôlables. Tout cela dû néanmoins terminer quand l’agent, le plus rationnel des deux, lui montra le savon.
Elle ricana et reçut son ultime baiser, avant de tout lâcher et d’être invitée à se retourner. Dos à lui, elle n’avait plus droit à rien, à cause de ce bain nécessaire. L’agent murmura quelques mots à son oreille suivi d’un mouvement de langue qui la firent contracter l’épaule en question tout en ricanant. C’était une zone chatouilleuse. Portant ses mains à sa poitrine, elle se laissa enduire de savon avec une délicatesse chirurgicale. Distribuant avec lui son lot de frisson en des ondes. Une fois qu’elle jugea qu’il eut terminé, elle se retourna et se sépara de lui totalement, jusqu’à trouver le mur. L’agent ne se laissa cependant pas déconcerté et vint de nouveau à sa rencontrer. Le savon voyagea de nouveau sur les courbes de son corps, passant par son visage. Elle en ferma les yeux et la bouche comme une enfant, attendant que l’eau veuille bien la libérer de sa souffrance. Quelques cris de stupeurs durent être poussés pour montrer son mécontentement fantaisiste. L’eau salvatrice fut sa délivrance, et l’agent le traitre, qui sans la prévenir l’embrassa de nouveau. Helera en recula d’un pas avant de reprendre conscience et d’entourer le torse de Zygmunt de ses bras. La passion renouvelée s’empara d’eux et les caresses ne firent qu’accentuer ce phénomène. Il affirma sa prise sur ses fesses, lui envoyant une décharge qui l’obligea à se mettre sur la pointe des pieds et d’entourer sa tête de ses bras. Elle lâcha sa bouche et le laissa se plonger dans son cou, la tête levée vers le ciel, lui laissant tout. Son regard fermé, ses sens en extases. Une de ses mains descendit le long de son dos et remonta en griffe. Une griffe dénuée d’ongles qui passa tout le long de sa colonne. Sa respiration n’en fit qu’augmenter.
Son prénom résonna comme une supplique, mais elle n’en prit garde, bien trop soumise à cette tension dans son corps qui l’obligeait à se coller à lui, à l’écraser sur elle. Sa main revint à elle et d’une main hasardeuse chercha derrière elle le savon, tâtonnant aléatoirement. Le bloc vint à elle et la reine pu continuer de l’entourer. Collée à lui, soumise à des baisers, elle navigua à son tour entre les muscles, passant une première fois avec le bloc, et une deuxième avec sa main. Le dos finalement fut la partie plus facile, car le reste l’obligea à se séparer de lui. Ses yeux se rouvrirent à ce moment là uniquement. Avec une application méticuleuse, elle passa alors sur son torse, sur ses biceps, trapèzes et deltoïdes. Redescendant ensuite sur les abdominaux transverses puis revint vers les grands droits avant de descendre de nouveau vers la pointe de son orgueil. Qui, comme toute arme, fut manipulée avec précaution. Ensuite vinrent les jambes, où elle dû se baisser pour s’en occuper avec efficacité. L’eau coulant dans le même temps chassa le savon, et elle en profita alors pour remonter lentement, distribuant des baisers sur tout son corps. Désormais à son niveau, elle se retourna pour éteindre définitivement l’eau, tandis que l’agent la rapprocha de nouveau. Son dos collé à lui, son corps contre le sien. La main de la reine se glissa dans la sienne et elle l’approcha sur son sein. De l’autre, les doigts glissèrent sur son visage qui se présenta au-dessus de son épaule et elle tourna la tête pour accrocher sa bouche. Quelques secondes, jusqu’à ce que la contorsion ait raison d’elle et que le simple rapprochement suffisent à la contenter. L’eau s’évaporait petit à petit et leur chaleur mutuelle suffisait à ne pas les gêner.
« Tu es doux. J’adore cette manière que tu as de … »
Elle chercha à mimer quelque chose avec sa main libre, mais en fut incapable. Il comprendrait, ou pas, mais elle-même ne sut pas exprimer sa pensée. Tout en se retournant vers lui, elle attrapa une serviette et s’en para en entourant l’agent. Dans ce cocon, il n’y avait alors plus qu’eux. Plus que leurs baisers échangés sous cette serviette. Elle posa ensuite sa tête sur son épaule et ferma les yeux, resta suspendue dans l’air avec lui, égouttant tranquillement. De ses épaules collées aux siens, elle fit des mouvements de rotation, comme s’ils étaient en train de danser. Ou plutôt non, de se bercer. Ultime moment d’accalmie qui la nourri de sa quiétude. La reine ne parla pas, n’en avait pas envie. Juste écouter, sentir, ressentir. Elle prit une grande inspiration et déposa un baiser dans son cou, avant de lever la tête vers lui.
« On va peut-être pas rester ici pendant deux heures. Ce n’est pas que ça me dérangerait particulièrement mais … j’ai vraiment envie de toi. »
Elle étira un grand sourire espiègle et l’embrassa de nouveau, d’une manière plus appuyée cette fois, plus pressante. N’hésitant pas à mordre la lèvre supérieure de l’agent, mélangeant son souffle avec le sien. Cet assaut se prolongea plusieurs minutes encore, lorsqu’elle décida de rompre sa course et de se séparer de l’agent. Il fallait sortir de cette douche que diable. Encore à moitié humide, elle ne se sentait pas l’envie d’attendre davantage. Le brasier qui sommeillait en elle menaçait, grondait même. Elle s’accapara l’agent une nouvelle fois à peine furent ils revenus dans la chambre, le harcelant de nouveau, tout en se déplaçant vers le lit. La butée fut le signe que leur procession était arrivée, et la reine enchaîna alors en forçant l’agent à s’assoir. Elle prit place sur lui, genoux repliés de part et d’autre de son buste. Ses longs doigts fins caressèrent son torse, n’observant désormais plus son visage, restant concentrée sur ses pectoraux. C’était sans doute la partie la plus attrayante, dont elle ne se lasserait pas de toucher. La reine ne souriait plus, et son regard remonta soudain vers l’agent, sa lèvre mordillée entre ses dents. Une de ses mains descendit de nouveau et vint guider l’acte, initiant la dernière marche. Son regard jamais ne lâcha celui de Molotch, calme, serein et déterminé. S’il ne le souhaitait pas, l’agent aurait tout le loisir de refuser néanmoins. Assise ainsi sur lui, elle sentit alors l’agent entrer en elle et en fermer les yeux, arrêtant de respirer quelques secondes. Ses mains vinrent entourer son cou et son front se colla au sien, sans qu’elle ne l’embrasse. Elle exécuta alors de légers mouvements de bassin pour enclencher la danse, alors même que ses doigts de pieds se contractèrent. Le plaisir était déjà, l’envie de tout accélérer directement également. Elle s’y refusa, prenant le temps, pour lui. Car c’est bien lui qui devrait poursuivre. Plus vigoureux, plus fort qu’elle ne l’était. Son regard dans le sien, assise sur lui, son bassin qui dansait d’avant en arrière, Helera utilisait tout ce qu’elle connaissait pour garder son calme.
Alors la reine s’était essayée à contenter son compagnon, et fut en retour caresser sur sa poitrine, à des endroits beaucoup trop sensibles. Leurs bouches se séparèrent, de l’initiative royal, afin de se perdre dans le creux de son trapèze afin d’y reprendre son souffle. Et surtout d’y souffler la pression qu’il accumulait dans son corps. Donner était une chose, mais recevoir contribuait à lui faire chavirer les sens. Ses caresses étaient douces et lui faisaient frissonner les poils jusque dans le bas du dos. Sa respiration était alors plus forte et son ventre se chargeait et déchargeait à grande intensité. Elle le désirait. L’attirance à laquelle elle était soumise la faisait se coller à lui, toujours plus proche, tout en sachant que cela empêcherait la distribution respective des plaisirs. Ceux-là même qui créaient alors ce rapprochement. Un paradoxe de sensualité auquel elle devait faire face. Aussi ne restait-il que ses baisers dans son cou, entre deux respirations prolongées, et des spasmes incontrôlables. Tout cela dû néanmoins terminer quand l’agent, le plus rationnel des deux, lui montra le savon.
Elle ricana et reçut son ultime baiser, avant de tout lâcher et d’être invitée à se retourner. Dos à lui, elle n’avait plus droit à rien, à cause de ce bain nécessaire. L’agent murmura quelques mots à son oreille suivi d’un mouvement de langue qui la firent contracter l’épaule en question tout en ricanant. C’était une zone chatouilleuse. Portant ses mains à sa poitrine, elle se laissa enduire de savon avec une délicatesse chirurgicale. Distribuant avec lui son lot de frisson en des ondes. Une fois qu’elle jugea qu’il eut terminé, elle se retourna et se sépara de lui totalement, jusqu’à trouver le mur. L’agent ne se laissa cependant pas déconcerté et vint de nouveau à sa rencontrer. Le savon voyagea de nouveau sur les courbes de son corps, passant par son visage. Elle en ferma les yeux et la bouche comme une enfant, attendant que l’eau veuille bien la libérer de sa souffrance. Quelques cris de stupeurs durent être poussés pour montrer son mécontentement fantaisiste. L’eau salvatrice fut sa délivrance, et l’agent le traitre, qui sans la prévenir l’embrassa de nouveau. Helera en recula d’un pas avant de reprendre conscience et d’entourer le torse de Zygmunt de ses bras. La passion renouvelée s’empara d’eux et les caresses ne firent qu’accentuer ce phénomène. Il affirma sa prise sur ses fesses, lui envoyant une décharge qui l’obligea à se mettre sur la pointe des pieds et d’entourer sa tête de ses bras. Elle lâcha sa bouche et le laissa se plonger dans son cou, la tête levée vers le ciel, lui laissant tout. Son regard fermé, ses sens en extases. Une de ses mains descendit le long de son dos et remonta en griffe. Une griffe dénuée d’ongles qui passa tout le long de sa colonne. Sa respiration n’en fit qu’augmenter.
Son prénom résonna comme une supplique, mais elle n’en prit garde, bien trop soumise à cette tension dans son corps qui l’obligeait à se coller à lui, à l’écraser sur elle. Sa main revint à elle et d’une main hasardeuse chercha derrière elle le savon, tâtonnant aléatoirement. Le bloc vint à elle et la reine pu continuer de l’entourer. Collée à lui, soumise à des baisers, elle navigua à son tour entre les muscles, passant une première fois avec le bloc, et une deuxième avec sa main. Le dos finalement fut la partie plus facile, car le reste l’obligea à se séparer de lui. Ses yeux se rouvrirent à ce moment là uniquement. Avec une application méticuleuse, elle passa alors sur son torse, sur ses biceps, trapèzes et deltoïdes. Redescendant ensuite sur les abdominaux transverses puis revint vers les grands droits avant de descendre de nouveau vers la pointe de son orgueil. Qui, comme toute arme, fut manipulée avec précaution. Ensuite vinrent les jambes, où elle dû se baisser pour s’en occuper avec efficacité. L’eau coulant dans le même temps chassa le savon, et elle en profita alors pour remonter lentement, distribuant des baisers sur tout son corps. Désormais à son niveau, elle se retourna pour éteindre définitivement l’eau, tandis que l’agent la rapprocha de nouveau. Son dos collé à lui, son corps contre le sien. La main de la reine se glissa dans la sienne et elle l’approcha sur son sein. De l’autre, les doigts glissèrent sur son visage qui se présenta au-dessus de son épaule et elle tourna la tête pour accrocher sa bouche. Quelques secondes, jusqu’à ce que la contorsion ait raison d’elle et que le simple rapprochement suffisent à la contenter. L’eau s’évaporait petit à petit et leur chaleur mutuelle suffisait à ne pas les gêner.
« Tu es doux. J’adore cette manière que tu as de … »
Elle chercha à mimer quelque chose avec sa main libre, mais en fut incapable. Il comprendrait, ou pas, mais elle-même ne sut pas exprimer sa pensée. Tout en se retournant vers lui, elle attrapa une serviette et s’en para en entourant l’agent. Dans ce cocon, il n’y avait alors plus qu’eux. Plus que leurs baisers échangés sous cette serviette. Elle posa ensuite sa tête sur son épaule et ferma les yeux, resta suspendue dans l’air avec lui, égouttant tranquillement. De ses épaules collées aux siens, elle fit des mouvements de rotation, comme s’ils étaient en train de danser. Ou plutôt non, de se bercer. Ultime moment d’accalmie qui la nourri de sa quiétude. La reine ne parla pas, n’en avait pas envie. Juste écouter, sentir, ressentir. Elle prit une grande inspiration et déposa un baiser dans son cou, avant de lever la tête vers lui.
« On va peut-être pas rester ici pendant deux heures. Ce n’est pas que ça me dérangerait particulièrement mais … j’ai vraiment envie de toi. »
Elle étira un grand sourire espiègle et l’embrassa de nouveau, d’une manière plus appuyée cette fois, plus pressante. N’hésitant pas à mordre la lèvre supérieure de l’agent, mélangeant son souffle avec le sien. Cet assaut se prolongea plusieurs minutes encore, lorsqu’elle décida de rompre sa course et de se séparer de l’agent. Il fallait sortir de cette douche que diable. Encore à moitié humide, elle ne se sentait pas l’envie d’attendre davantage. Le brasier qui sommeillait en elle menaçait, grondait même. Elle s’accapara l’agent une nouvelle fois à peine furent ils revenus dans la chambre, le harcelant de nouveau, tout en se déplaçant vers le lit. La butée fut le signe que leur procession était arrivée, et la reine enchaîna alors en forçant l’agent à s’assoir. Elle prit place sur lui, genoux repliés de part et d’autre de son buste. Ses longs doigts fins caressèrent son torse, n’observant désormais plus son visage, restant concentrée sur ses pectoraux. C’était sans doute la partie la plus attrayante, dont elle ne se lasserait pas de toucher. La reine ne souriait plus, et son regard remonta soudain vers l’agent, sa lèvre mordillée entre ses dents. Une de ses mains descendit de nouveau et vint guider l’acte, initiant la dernière marche. Son regard jamais ne lâcha celui de Molotch, calme, serein et déterminé. S’il ne le souhaitait pas, l’agent aurait tout le loisir de refuser néanmoins. Assise ainsi sur lui, elle sentit alors l’agent entrer en elle et en fermer les yeux, arrêtant de respirer quelques secondes. Ses mains vinrent entourer son cou et son front se colla au sien, sans qu’elle ne l’embrasse. Elle exécuta alors de légers mouvements de bassin pour enclencher la danse, alors même que ses doigts de pieds se contractèrent. Le plaisir était déjà, l’envie de tout accélérer directement également. Elle s’y refusa, prenant le temps, pour lui. Car c’est bien lui qui devrait poursuivre. Plus vigoureux, plus fort qu’elle ne l’était. Son regard dans le sien, assise sur lui, son bassin qui dansait d’avant en arrière, Helera utilisait tout ce qu’elle connaissait pour garder son calme.